• Image numéro du diaporama accueil du site
  • Image numéro deux du diaporama accueil du site

S'exonérer des intermédiaires
qui n'apportent rien

Illustration interdiction aux agents immobiliers

Une hégémonie disparue

L'ancien monde des professionnels de la transaction immobilière, confronté au nouvel horizon ouvert par le numérique, a définitivement perdu son coté incontournable.
Si, (mais pour combien de temps encore ?...), pour des biens d'un haut niveau de prix, de luxe, de prestige, etc, le recours à un professionnel spécialisé, trié sur le volet, est compréhensible : accès verrouillé à certains sites d'annonces, vendeurs et acheteurs ayant l'habitude de déléguer les tâches à d'autres, commission mieux acceptée et qui devient même secondaire, etc...), cela ne l'est plus hors de ce registre spécifique.
L'inflation galopante du nombre d'agences et de réseaux de mandataires a accéléré la dégradation d'un système qui peine à se réinventer, et la pertinence du recours à leurs services est de moins en moins évidente.
D'autre part le durcissement récent des critères d'acceptabilité des prêts par les banques vient rajouter une bonne raison de choisir de vendre par soi-même, en gagnant en marge de négociation grâce à l'absence de commission...

Une démarche à la portée de tous

Avec la banque d'informations qu'est devenu Internet sur tous les sujets, et l'audience des meilleurs sites d'annonces, accessibles à tous, tout un chacun jouissant de facultés normales peut facilement "faire le job" aussi bien sinon mieux que tous ceux, innonbrables, qui revendiquent l'étiquette de "Professionnel de l'immobilier" qui ne signifie plus grand-chose. Les propriétaires-vendeurs qui ne sont pas empêchés à le faire pour des raisons d'intendance : éloignement géographique, indisponibilité totale, etc, gagneront à coup sûr à s'exonérer des services d'un intermédiaire, s'ils font l'effort de s'enquérir de la stratégie qui fonctionne et de l'appliquer avec rigueur.
Le taux de réussite des ventes qui ont été réalisées en direct par tous ceux qui ont appliqué (dans leur entièreté) les règles de base que nous exposons sur ce site, de biens immobiliers qui étaient pourtant aussi en agences, prouve que le recours à un "professionnel" n'augmente pas les chances de bien vendre, mais les pénalise plutôt, car les intérêts de chacun sont sensiblement divergents, et ici comme ailleurs, (mais particulièrement ici...), rien ne vaudra jamais l'échange direct entre acheteur et vendeur.

Image illustrant un personnage montrant des statistiques

Des tarifs lourds et incohérents

Le montant des honoraires (à la commission) que s'octroient les professionnels de l'immobilier n'est pas basé sur une évaluation des difficultés, du temps passé et du coût réel qu'engendre une vente spécifiquement, mais appliqué globalement, de manière arbitraire. C'est l'un des éléments qui font que leur système est de plus en plus mal accepté. Des tarifs qui font supporter globalement à chaque client le coût des ventes qu'ils ne font pas, à cause d'un concept avant tout pensé et entretenu par des profils d'opportunistes patentés, des marchands d'illusions dominants qui s'y sont engouffrés et maintiennent en permanence à leur service un cheptel de chasseurs de mandats au prix d'un turn-over impressionnant...

En clair...

Un coût engendré par l'échec dominant :

Aucune statistique officielle n'est accessible relativement au taux de conversion : mandats signés / ventes effectives réalisées, obtenu par chaque agence ou mandataire. On connait seulement les statistiques moyennes nationales : sur 10 mandats "rentrés" par un professionnel (agence ou mandataire), 1 bien sur 10 seulement est vendu par ledit professionnel, 5 biens sont vendus par un concurrent, 3 directement par leurs propriétaires, et 1 bien est retiré de la vente au bout d'un certain temps.
Ce qui veut dire qu'un client d'une agence paye pour les neuf autres dont le bien ne sera pas vendu par ladite agence, (et qui auront généré un coût non compensé par une vente) ! Le signe évident des failles d'un système obsolète qui rechigne à se remettre en cause, certains réseaux dominants devant y trouver leur compte...

Attention toutefois : danger !

Image illustrant un personnage montrant des statistiques

72 % des propriétaires qui essaient de vendre un bien immobilier en direct subissent l'échec. En préambule à "La recette gagnante", qui leur évitera de conforter ces mauvaises statistiques, nous analysons le scénario classique auquel on assiste très fréquemment, et qui conduit à ce taux d'échecs ahurissant. Accès avec le lien ci-dessous...

Préambule →