L'ancien monde des professionnels de la transaction
immobilière, confronté au nouvel horizon ouvert par le numérique, a définitivement perdu son coté incontournable.
Si pour des biens d'un très haut niveau de prix, de luxe, de prestige,
etc, il n'est pas évident de se passer des services d'un professionnel
spécialisé trié sur le volet : accès
verrouillé à certains sites d'annonces, vendeurs et acheteurs ayant
l'habitude de déléguer les tâches à d'autres, connaissance des réseaux
d'acheteurs, etc...), cela n'est plus le cas hors de ce registre
spécifique, et bien au contraire c'est même salutaire de le faire,
quand bien sûr on en est pas empêché pour de bonnes raisons.
L'inflation galopante du nombre d'agences et de réseaux de mandataires
a accéléré la dégradation d'un système qui est devenu absurde dans son
concept éculé. D'autre part le durcissement récent des critères
d'acceptabilité des prêts par les banques et la hausse des taux
d'intérêt des crédits, rajoutent une bonne raison de gagner en marge
de négociation grâce à l'absence d'une commission très pénalisante...
Le montant des honoraires (à la commission) que s'octroient les professionnels de l'immobilier n'est pas basé sur une évaluation des difficultés, du temps passé et du coût réel qu'engendre une vente spécifiquement, mais appliqué globalement, de manière arbitraire. C'est l'un des éléments qui font que leur système est de plus en plus mal accepté. Des tarifs qui font supporter globalement à chaque client le coût des ventes qu'ils ne font pas, à cause d'un concept avant tout pensé et entretenu par des profils d'opportunistes patentés, des marchands d'illusions dominants qui s'y sont engouffrés et maintiennent en permanence à leur service un cheptel de chasseurs de mandats au prix d'un turn-over impressionnant...
Aucune statistique officielle n'est accessible
relativement au taux de conversion : mandats
signés / ventes effectives réalisées, obtenu par chaque
agence ou mandataire. On connait seulement les statistiques moyennes
nationales : sur 10 mandats "rentrés" par
un professionnel (agence ou mandataire), 1 bien
sur 10 seulement est vendu par ledit professionnel, 5
biens sont vendus par un concurrent, 3
directement par leurs propriétaires, et 1 bien
est retiré de la vente au bout d'un certain temps.
Ce qui veut dire qu'un client d'une agence paye
pour les neuf autres dont le bien ne sera pas vendu par
ladite agence, (et qui auront généré un coût non compensé par une
vente) ! Le signe évident des failles d'un système obsolète qui
rechigne à se remettre en cause, certains réseaux dominants devant y
trouver leur compte...
La notion de l'utilité de l'agent immobilier est une
illusion entretenue qui fonctionne encore très bien, et cela
reste un mystère pour nous !... Pourtant, tout un chacun jouissant de
facultés normales peut facilement "faire le job" aussi bien sinon
mieux que tous ceux, innonbrables, qui revendiquent l'étiquette de
"Professionnel de l'immobilier", (qui ne signifie plus
grand-chose...). Paradoxalement, les propriétaires-vendeurs qui ne
sont pas empêchés à le faire pour des raisons d'intendance :
éloignement géographique, indisponibilité totale, etc, gagneront à
coup sûr à s'exonérer des services d'un intermédiaire, à la seule
condition qu'ils fassent l'effort de s'enquérir
de la stratégie qui fonctionne et de l'appliquer avec
rigueur.
Cette stratégie, nous leur offrons dans le détail via ce
site-internet. Le taux de réussite des ventes qui ont été réalisées en
direct par tous ceux qui ont appliqué (dans leur entièreté) les règles
de base que nous exposons sur ce site, de biens immobiliers qui
étaient pourtant aussi en agences, prouve que le recours à un
"professionnel" n'augmente pas les chances de bien vendre, mais les
pénalise plutôt, car les intérêts de chacun sont sensiblement
divergeants, et ici comme ailleurs, (mais particulièrement ici...),
rien ne vaudra jamais l'échange direct entre acheteur et vendeur.
72 % des propriétaires qui essaient de vendre un bien immobilier en direct subissent l'échec. En préambule à "La recette gagnante" qui leur permettra d'éliminer les causes d'échec, nous analysons le scénario classique auquel on assiste très fréquemment, et qui conduit à ces statistiques désastreuses. Accès avec le lien ci-dessous...